Annexe C : Résumés des séances

Table des matières


Séance 1A : Le financement des sciences océaniques du Canada : les conseils et les organismes subventionnaires du Canada

Domaine de défi

Harmoniser les efforts, les plans et le financement autour de priorités communes

Chef de séance

Secrétariat de l’AROC

Conférenciers additionnels

Elizabeth Boston, Sciences mathématiques, environnementales et physiques (CRSNG)

Jacques Critchley, Subventions et partenariats de recherche (CRSH)

Sandra Zohar, Fondation canadienne pour l’innovation

Résumé

Le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) appuie les étudiants universitaires dans leurs études supérieures, encourage et appuie la recherche axée sur la découverte et favorise l’innovation en incitant les entreprises canadiennes à investir dans des projets de recherche d’établissements postsecondaires et à y participer. Nous fournirons un aperçu des programmes du CRSNG qui soutiennent la recherche sur les technologies et les sciences océaniques, ainsi que les tendances de financement au cours des dernières années. Nous allons mettre en évidence les initiatives collaboratives et les réseaux, ainsi que les possibilités futurs pour la collaboration à l’échelle nationale et internationale.

Le Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH) est l’organisme subventionnaire fédéral du Canada qui favorise et soutient la recherche et la formation en recherche de niveau postsecondaire en sciences humaines au moyen de subventions et de bourses. Au Canada et dans le monde entier, les universités et les collèges changent, s’adaptent et recherchent activement à transformer la nature et la portée changeantes de la recherche scientifique. À l’intérieur et en dehors des universités, de plus en plus de chercheurs et d’utilisateurs de la recherche en tous genres pensent que les collaborations intersectorielles, ainsi que les collaborations entre les organismes et entre les ministères sont de plus en plus décisives et correspondent sans doute à la nouvelle norme. Le plan stratégique actuel du CRSH intitulé « L’avancement du savoir pour façonner le Canada de demain » (2016-2020) se penche sur ces défis et sur ces possibilités à l’aide de trois objectifs stratégiques :

1. Susciter l’excellence en recherche dans un contexte qui évolue.

2. Créer des occasions de recherche et de formation dans le cadre d’initiatives concertées

3. Établir des liens entre la recherche en sciences humaines et les Canadiens

Ces objectifs cadrent très bien avec le défi qui consiste à harmoniser les efforts avec les priorités partagées, et nous mettrons l’accent sur la contribution particulière que les sciences sociales et leur financement peuvent apporter à l’AROC.

La Fondation canadienne pour l’innovation (FCI) a investi près de 370 millions de dollars au cours des 20 dernières années afin de soutenir l’infrastructure de recherche océanographique de pointe pour plus de 250 projets. Cet investissement comprend également plus de 123 millions de dollars pour le fonctionnement et l’entretien (F et E) des installations de recherche nationales qui bénéficient du Fonds des initiatives scientifiques majeures. La séance fournira un aperçu des principaux investissements de la FCI dans les coûts liés à l’infrastructure, ainsi qu’au F et E des projets et des installations de recherche océanographique, en mettant l’accent sur les collaborations et les réseaux (nationaux et internationaux). Elle se terminera par une mise à jour sur le budget fédéral de 2018 et sur l’éventail actuel de fonds de la FCI.

 

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Séance 1B : Centres d’entreprise des sciences du Canada : partnariat pour les innovations de demain

Domaine de défi

Harmoniser les efforts, les plans et le financement autour de priorités communes

Chef de séance

Anthony Redican – Pêches et Océans Canada

Conférenciers additionnels

Anne Veniot – Pêches et Océans Canada

Steve MacDonald - Pêches et Océans Canada

Résumé

Dans le cadre des investissements du gouvernement du Canada dans les sciences de la mer et des eaux douces, Pêches et Océans Canada (MPO) a établi des Centres d’entreprise des sciences réunissant plusieurs partenaires dans deux de ses installations : le Centre des pêches du Golfe à Moncton, au Nouveau-Brunswick, et le Centre de recherche sur l’aquaculture et l’environnement à Vancouver Ouest, en Colombie-Britannique. Ces centres deviennent des pôles de recherche axés sur l’innovation et la collaboration favorisant l’établissement de partenariats entre les communautés scientifique et universitaire, les groupes autochtones, les groupes d’entreprise, les partenaires du gouvernement, les organismes non gouvernementaux et le grand public.

Une fois pleinement opérationnels, les Centres d’entreprise des sciences seront des installations complètes et polyvalentes visant à établir une collaboration novatrice de calibre mondial entre plusieurs partenaires dans le but de faire progresser les priorités et d’accroître les connaissances scientifiques des Canadiens.

Cette séance présentera les objectifs et les avancées réalisées à ce jour quant à la mise en place de modèles de collaboration, de diffusion et de gouvernance dans les Centres d’entreprise des sciences de l’Atlantique et du Pacifique, y compris les obstacles qui ont été rencontrés et les occasions de collaboration futures. Elle comprendra également une discussion sur les obstacles actuels à la collaboration dans le but de cerner d’éventuelles solutions novatrices permettant de les surmonter.

 

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Séance 1C : Réseauter les réseaux : favoriser la collaboration et la coordination entre les réseaux de recherche et de gestion océaniques afin de répondre aux priorités canadiennes et internationales

Domaine de défi

Harmoniser les efforts, les plans et le financement autour de priorités communes

Chef de séance

Sara Iverson, Ocean Tracking Network

Conférenciers additionnels

Fred Whoriskey, Ocean Tracking Network

Leah Braithwaite, ArcticNet

Sana Kavanagh, Mi’kmaw Conservation Group

Résumé

Afin de fournir des preuves sur lesquelles fonder des stratégies complexes en matière de sciences, de politique et de gestion pour les ressources océaniques et aquatiques, les nations se tournent vers d’importants réseaux multidisciplinaires qui unissent les chercheurs des sciences naturelles et sociales, et s’appuient sur le milieu universitaire, l’industrie, le gouvernement, les groupes autochtones et les collectivités locales. Le Canada a investi dans un certain nombre de réseaux océaniques de classe mondiale qui fournissent des connaissances intégrées au sujet des principaux intérêts et qui s’appuient considérablement sur les points forts existants. Ces réseaux (même lorsqu’ils ont une portée pancanadienne ou mondiale) traitent de problèmes spécialisés et bien définis, et recueillent différents types de données. Ils peuvent toutefois se recouper : dans les zones géographiques, dans l’équipement utilisé et dans les approches d’analyse qui bénéficieraient grandement (et apporteraient un éclairage nouveau sur des problèmes importants) de meilleures collaborations et de nouvelles harmonisations au sein des réseaux. Le Conseil des académies canadiennes a reconnu l’importance et les points forts des réseaux océaniques canadiens, mais a également mis l’accent sur le besoin de mieux coordonner les investissements dans les ressources publiques afin d’avantager le Canada et les Canadiens en intégrant les connaissances dans la politique et dans la gestion.

Le but de cette séance de l’AROC est de fournir des exemples des réseaux océaniques canadiens existants et d’échanger des idées sur les occasions d’améliorer l’harmonisation et la coordination de ces réseaux. Nous réunissons un groupe de représentants issus de trois réseaux axés sur les océans qui fourniront un bref aperçu des avantages que procurent leurs activités de réseautage, ainsi que des défis et des leçons retenues qui sont apparus en essayant de dépasser leurs réseaux à l’échelle nationale et internationale, en intégrant les connaissances dans les sphères de la politique et de la gestion et, plus particulièrement, en contribuant à cerner de nouvelles occasions de synergies et d’intégration au sein des réseaux. Un forum ouvert au grand public donnera l’occasion de cerner des exemples supplémentaires de succès et de défis en matière de réseautage, de discuter de façons de renforcer l’harmonisation, la collaboration et la coordination au sein des réseaux à l’échelle nationale et internationale, et de définir des initiatives qui permettent de combler les lacunes dans les domaines prioritaires de la recherche et de la gestion océaniques.

 

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Séance 2A : Observation coordonnée et collaborative des océans

Domaine de défi

Faire progresser le partage des infrastructures

Chef de séance

Brad deYoung – Memorial University of Newfoundland

Conférenciers additionnels

Keith Lennon – Pêches et Océans Canada

Carl Gouldman – Integrated Ocean Observing System (IOOS) des États-Unis

Résumé

Cette séance sera l’occasion de passer en revue les avantages et les défis découlant de l’observation coordonnée et collaborative des océans, puis d’en discuter. Pour améliorer l’intendance de l’océan, mais aussi pour nous préparer aux futurs dangers, voire pour les éviter, nous devons effectuer de meilleures observations et approfondir notre compréhension des océans. Au Canada il y a bon nombre d’activités d’observation des océans et beaucoup d’infrastructures, mais elles sont peu harmonisées et plusieurs ne sont pas viables. À l’échelle nationale, nos programmes ont besoin de coordination pour rassembler des données provenant de nombreuses sources : des balises recueillent des données sur le vent et les vagues, des navires examinent les stocks de poissons et des satellites fournissent des images depuis l’espace. Nos investissements dans l’observation des océans seront rentabilisés uniquement s’il y a une meilleure coordination et une meilleure collaboration. Les enjeux liés aux océans touchent l’ensemble des régions et transcendent les frontières nationales. Ils nécessitent donc une approche intégrative ambitieuse adaptée aux objectifs.

Nous commencerons par l’Atlantic Ocean Observing BluePrint, une initiative internationale énonçant les principes et stratégies pour des activités d’observation viables de l’Atlantique Nord et de l’Atlantique Sud. Nous tirerons des leçons de l’élaboration du programme américain IOOS, qui est en vigueur depuis près de 10 ans. La discussion sur les défis et les avantages mènera à un examen de l’état actuel des activités canadiennes d’observation des océans ainsi qu’à l’élaboration de stratégies concernant le système intégré d’observation des océans du Canada dirigé par Pêches et Océans Canada.

 

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Séance 2B : Accroissement de la capacité des navires pour la recherche canadienne en mer – Partie 1 : Initiatives collaboratives

Domaine de défi

Faire progresser le partage des infrastructures

Chef de séance

Douglas Wallace, MEOPAR

Conférenciers additionnels

Guy Levesque, Fondation canadienne pour l’innovation (FCI)

Keith Levesque, Pêches et océans Canada (MPO)

Jennifer Vollrath, Pêches et océans Canada (MPO)

Louis Fortier, Amundsen Science, ArcticNet

Doug Bancroft, Canadian Scientific Submersible Facility (CSSF)

Résumé

Cette séance portera sur la capacité des navires de recherche au Canada, avec une attention particulière sur les navires qui peuvent soutenir la recherche pluridisciplinaire et les déploiements complexes dans l’Arctique canadien et en mer. Les panélistes définiront brièvement la situation et le pronostic existants; définiront les plans et les occasions relatifs aux nouvelles approches d’accroissement de la capacité des navires de recherche, et indiqueront les prochaines étapes concrètes qui devront être suivies.

Les nouvelles approches incluront des plans concernant la capacité des brise-glaces de recherche conçus à cette fin, ainsi que l’infrastructure modulaire permettant d’utiliser une gamme de plateformes, de navires et d’occasions associés aux nouveaux navires de patrouille extracôtiers de l’Arctique.

Cette séance est directement liée à la séance de suivi qui portera sur les approches coopératives en matière de partage et d’exploitation d’une infrastructure maritime importante.

 

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Séance 2C : Accroissement de la capacité des navires pour la recherche canadienne en mer – Partie 2 : Approches stratégiques

Domaine de défi

Faire progresser le partage des infrastructures

Chefs de séance

Keith Levesque et Jennifer Vollrath; Pêches et Océans Canada

Conférenciers additionnels

Alexandre Forest, Amundsen Science

Franklin Schwing, Division de l’information scientifique, NOAA

Résumé

Les navires scientifiques constituent une composante essentielle des infrastructures de recherche océanographique. Au Canada l’émergence et la croissance des demandes d’observations et de conseils scientifiques coïncident avec la diminution de la capacité des infrastructures. Cette situation met en évidence la nécessité d’un mécanisme national pour mieux coordonner l’accès aux navires scientifiques existant dans les organisations de recherche océanographique et d’une vision stratégique partagée pour le fonctionnement des infrastructures actuelles et nouvelles.

La coordination et le partage des infrastructures ne sont pas nouveaux. On présentera des exemples clés de la façon dont les communautés des sciences des océans se sont réunies pour mettre en commun les ressources et collaborer. La National Oceanic and Atmospheric Administration des États-Unis (NOAA) a conçu un outil en ligne pour attribuer et planifier ses navires scientifiques d’une façon qui optimise leur utilisation dans tous les secteurs de la NOAA et auprès de ses collaborateurs scientifiques. En Europe, des stratégies telles que les consortiums International Arctic Research Icebreakers (ARICE) et EUROFLEETS ont été élaborées pour traiter les défis relatifs à la coordination des activités transnationales et des ressources scientifiques océanographiques limitées. Au Canada, le déploiement scientifique du brise-glace scientifique NGCC Amundsen est géré par l’organisation indépendante Amundsen Science qui permet à des chercheurs de tous les horizons d’accéder au navire.

Pêches et Océans Canada élabore actuellement une application en ligne pour coordonner l’accès au partage des infrastructures de recherche marine canadiennes et le faciliter pour les chercheurs gouvernementaux et universitaires et permettra que le processus de soumission et d’évaluation des demandes de temps-navire soit efficace et transparent. Des renseignements seront fournis quant à la justification et aux fonctionnalités de l’application.

Cette séance permettra d’approfondir des questions supplémentaires concernant le modèle actuel de financement, de partage et de fonctionnement des navires scientifique au Canada et ce qui est nécessaire pour concrétiser une approche stratégique.

 

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Séance 2D : Infrastructure d’avenir

Domaine de défi

Faire progresser le partage des infrastructures

Chef de séance

Brad deYoung – Memorial University of NewFoundland

Conférenciers additionnels

Richard Dewey – Ocean Networks Canada (ONC)

Blair Greenan – Pêches et Océans Canada

David Fissel – ASL Environmental Sciences

Résumé

Notre capacité à prendre des mesures océanographiques a grandement augmenté ces dernières décennies. Nous avons de nombreuses plateformes nouvelles pour atteindre l’océan ainsi que des capteurs qui peuvent détecter non seulement la température et la salinité, mais aussi la chlorophylle, les nutriments et d’autres propriétés biogéochimiques et biologiques. Nous devons désormais faire face au défi consistant à décider quelles propriétés mesurer et comment déployer au mieux l’attirail technologique à notre disposition. Au Canada, nous devons également mieux partager les systèmes dont nous disposons et qui sont dispersés sur un vaste territoire et entre les établissements du secteur gouvernemental, privé et universitaire.

Dans cette séance, nous allons examiner certaines de nos capacités actuelles en matière de mesures fixes et mobiles, étudier certains des capteurs en cours d’élaboration ainsi que les occasions pour l’avenir. Nous allons étudier les réseaux régionaux (ONC, Ocean Tracking Network, Observatoire globale du St-Laurent, et radar HF), les plateformes mobiles (planeurs, Argo, BioArgo, Véhicules Sous-marines Autonomes) et les technologies à capteur (gaz, nutriments, pH). Nous allons examiner certaines des approches relatives au partage des infrastructures telles que l’installation ROPOS et Ocean Gliders Canada. La discussion sera axée sur les stratégies permettant une collaboration et un partage accrus. Comment pouvons-nous tirer davantage parti des investissements intellectuels et financiers que nous avons faits dans la technologie océanographique? Quelles sont les principales lacunes en matière d’observation des océans et comment doivent-elles être traitées? Comment pouvons-nous mettre en place des partenariats intersectoriels plus efficaces entre les universités, l’industrie et le gouvernement?

 

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Séance 2E : Les défis pancanadiens en matière de gestion des données de recherche

Domaine de défi

Faire progresser le partage des infrastructures

Chef de séance

David Castle, Université de Victoria

Conférenciers additionnels

Fred Whoriskey, Ocean Tracking Network

Benoit Pirenne, Ocean Networks Canada

Geoff Munro, Trestle Networks

Résumé :

Les sciences océaniques dépendent de plus en plus de technologies de télédétection sophistiquées qui produisent de grands volumes de données devant être normalisées, faire l’objet d’un contrôle de la qualité, et être communicables et accessibles. Ce groupe étudiera le contexte canadien de la gestion des données de recherche (du point de vue de Données de recherche Canada) et les initiatives sur les côtes Est et Ouest (Ocean Tracking Network et Ocean Networks Canada), puis discutera des activités scientifiques du gouvernement fédéral (Réseau scientifique du gouvernement du Canada). Cette séance portera principalement sur le bien-fondé d’approches nationales harmonisées pour la gestion des données sur les océans, la communication et la coordination de la gestion des données de recherche, les normes internationales et le leadership du Canada, et la possibilité d’un partenariat entre les universités, l’industrie et le gouvernement concernant les données scientifiques sur les sciences.

 

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Séance 3A : Les priorités du gouvernement du Canada nécessitant l’avis des membres de la communauté des sciences et des technologies océaniques

Domaine de défi

Bénéficier du soutien des sciences en matière de politiques publiques, de réglementation et de prise de décision

Chef de séance

Andrew Brammer, Pêches et Océans Canada

Conférenciers additionnels

Alain Leclair, Savoir polaire Canada

Candace Newman, Ressources naturelles Canada

Jean-François Bibeault, Environnement et changements climatiques Canada

Autres (à confirmer)

Résumé

Une des exigences clés permettant de favoriser une collaboration plus efficace dans l’ensemble de l’écosystème scientifique océanique canadien est d’améliorer l’harmonisation générale entre les produits de la programmation de la recherche créés par les praticiens des sciences des océans, ainsi que les renseignements et conseils dont les gestionnaires et les décideurs ont besoin à l’appui des règlements et de la prise de décisions.

Dans cette séance, les ministères fédéraux qui utilisent les produits de recherche en matière de science et de technologie océaniques discuteront des domaines prioritaires dont la réussite de la progression sera confortée par la disponibilité de conseils en matière de sciences et de technologie océaniques.

 

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Séance 3B : La science de l’océan Arctique : répondre aux besoins futurs

Domaine de défi

Bénéficier du soutien des sciences en matière de politiques publiques, de réglementation et de prise de décision

Chef de séance

David Scott, Savoir polaire Canada

Conférenciers additionnels

Brian Burke, Nunavut Fisheries Association

Peter Harrison, Université Queen’s

David Jackson, Service canadien des glaces, Environnement et Changement climatique Canada

Autres (à confirmer)

Résumé :

À mesure que le climat se réchauffe et que les eaux libres dans l’océan Arctique deviennent de plus en plus répandues, de nouveaux défis se présentent; les cadres stratégiques et réglementaires doivent évoluer au même rythme. Au cours de cette séance, nous étudierons les nouvelles lacunes dans les connaissances, les questions stratégiques ainsi que les exigences et défis en matière de recherche sur l’océan Arctique, du point de vue des habitants du Nord et d’autres experts de l’océan Arctique. Nous examinerons les tendances concernant les pêches actuelles dans les régions de l’est et de l’ouest de l’Arctique canadien, et déterminerons les principales questions. Les enjeux liés aux activités éventuelles dans le centre de l’océan Arctique seront mis en évidence et évalués, et les principales lacunes dans les connaissances seront étudiées. Nous discuterons de l’évolution de la dynamique de la glace de mer, qui influe sur la récolte et le transport saisonnier sécuritaire, de même que des liens avec les défis actuels et éventuels.

 

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Séance 3C : Intégration de la géoscience du fond marin dans la planification spatiale marine

Domaine de défi

Bénéficier du soutien des sciences en matière de politiques publiques, de réglementation et de prise de décision

Chef de séance

Philip Hill, Ressources Naturelles Canada (RNCan)

Conférenciers additionnels

Stephen Locke, RNCan

Craig Brown, Nova Scotia Community College

Résumé

La compréhension des caractéristiques géologiques du fond marin et des strates sous-jacentes fournit des renseignements contextuels importants pour la planification spatiale marine. Généralement basée sur une analyse morphologique des modèles de bathymétrie à sonar multifaisceaux et des données de rétrodiffusion, la caractérisation géologique du fond marin fournit des renseignements sur la composition, la structure, la stabilité et la sensibilité du fond marin. La cartographie géologique contribue à la gestion des effets cumulatifs en fournissant des preuves des processus physiques qui forment le fond marin et des voies de passage naturelles pour les sédiments et les contaminants, de la source au dépôt final. L’intégration des renseignements géologiques à la planification spatiale marine et à la gestion des problèmes nécessite une culture de collaboration qui est actuellement développée de façon partielle uniquement au niveau local, mais n’est pas systématiquement soutenue par la politique publique.

Cette séance réunira des spécialistes de l’océanographie géologique, physique et biologique ainsi que des gestionnaires des océans pour discuter des problèmes liés à l’intégration de la cartographie géologique du fond marin aux initiatives de planification spatiale marine.

 

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Séance 3D : Assurer une meilleure prise de décision en rapprochant les sciences naturelles et les sciences sociales

Domaine de défi

Bénéficier du soutien des sciences en matière de politiques publiques, de réglementation et de prise de décision

Chef de séance

Anthony (Tony) Charles, St- Mary’s University

Conférenciers additionnels

Ken Paul, Atlantic Policy Congress of First Nations Chiefs

Other (TBC)

Résumé

Tout le monde conviendra que les décisions au sujet de l’océan, de ses utilisations et de son avenir ne peuvent pas être prises sans connaître les sciences naturelles et leurs dimensions humaines (économiques, sociales, culturelles, juridiques, et les autres aspects). Pourtant, la capacité du gouvernement fédéral de fournir les connaissances nécessaires quant aux dimensions humaines de l’océan est actuellement très limitée. Les établissements d’enseignement canadiens sont forts dans ces domaines, tout comme de nombreux organismes autochtones et organismes non gouvernementaux. La conclusion logique en est que les partenariats de recherches transdisciplinaires sont nécessaires afin de réunir tous les participants.

Certains exemples de réussite de cette approche seront fournis, tels que l’ancien Réseau de recherche sur la gestion des océans, le partenariat OceanCanada et le réseau de recherche sur la conservation communautaire. Il faut également discuter des défis relatifs à la mise en place et au maintien des liens entre les sciences naturelles et les sciences sociales, ainsi que du rôle des sources de connaissances autochtones, locales et maritimes. Nous étudierons les principaux besoins pour l’avenir. Les expériences et les idées des participants à la séance seront les bienvenues.

 

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Séance 4A : Possibilités de collaboration entre les organisations et les différentes initiatives de technologie marines

Domaine de défi

Encourager l’innovation et la commercialisation des connaissances et des technologies

Chef de séance

Scott McLean, Alliance des technologies océaniques du Canada

Autres conférenciers

Jim Hanlon, Centre for Ocean Ventures Enterprise

Michelle Wheatley, Pêches et Océans Canada

Résumé

Cette séance portera sur plusieurs des principales initiatives récentes au Canada qui offriront des occasions importantes de collaboration dans le secteur des technologies océaniques à l’échelle nationale. Les conférenciers fourniront un aperçu de 10 à 15 minutes sur ces nouvelles initiatives et sur les occasions de collaboration entre l’industrie, le milieu universitaire et les organisations gouvernementales.

Conférenciers et sujets :

  • Scott McLean : Alliance des technologies océaniques du Canada

  • Jim Hanlon : Superamas des océans du Canada

  • Michelle Wheatley : Plan de protection des océans

Après les présentations et la séance de questions et réponses, un tour de table sera organisé.

 

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Séance 4B : Les enjeux nationaux dans le domaine du développement des technologies marines

Domaine de défi

Encourager l’innovation et la commercialisation des connaissances et des technologies

Chef de séance

David Fissel, Directeur, Alliance des technologies océaniques du Canada

Autres conférenciers

Monsieur David Murrin, Ph. D.; Conseil national de recherches du Canada (CNR)

Monsieur Greg Johnson, Ph. D., RBR Limited

Martin Taillefer, Maritime Way Scientific

Résumé

Cette séance abordera les défis liés au développement des technologies marines au Canada. Plus précisément, cette séance visera à mieux comprendre certains des problèmes qui peuvent être traités afin d'améliorer la commercialisation des connaissances et des technologies océaniques au Canada. Les aspects particuliers de ce sujet comprennent des mécanismes améliorés de communication et de coordination au sein des entreprises des sciences et des technologies océaniques canadiennes. Cette séance aura pour but de cerner, au sein de la collectivité des sciences et des technologies océaniques canadiennes, les défis qui doivent être relevés à l'échelle nationale et les nouvelles technologies maritimes qui doivent être développées et mises à l’essai au moyen d'une coopération entre les sciences et l’ingénierie.

Les conférenciers et leurs sujets sont les suivants :

  • David Fissel : Un aperçu des priorités en matière de nouvelles technologies maritimes fondé sur une étude précédente réalisée par le Conseil des académies canadiennes, avec des mises à jour fondées sur des études plus récentes.

  • David Murrin : Dans quelle mesure les programmes actuels et futurs CNR s’alignent avec le développement des sciences, de l'ingénierie et de la technologie océaniques canadiennes.

  • Greg Johnson et Martin Taillefer : Défis en matière de développement des technologies de la part des entreprises canadiennes des sciences et des technologies océaniques; dans quelle mesure une collaboration et une coordination améliorées bénéficieraient au développement de la technologie?

La discussion de groupe sera suivie d'une séance de questions et réponses de la part du public.

 

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Séance 4C : Possibilités pour le Canada en matière de technologies marines

Domaine de défi

Encourager l’innovation et la commercialisation des connaissances et des technologies

Chefs de séance

Gordon Gale, directeur exécutif, Ocean Technology Council of Nova Scotia

Noémie Giguère, directrice exécutive, Technopole maritime du Québec

Conférenciers additionnels

Sue Malloy, Ph. D., Glas Ocean

Jeff Stockhausen, Conseil national de recherches Canada

Résumé

Les technologies océaniques doivent être considérées comme un secteur général ou horizontal. Les technologies océaniques appartiennent à un certain nombre de secteurs verticaux classiques tels que: la défense et la sécurité maritimes, l’observation des océans, l’énergie maritime (renouvelable et extractive), le transport maritime, le tourisme maritime, la pêche de capture et l’aquaculture. À ce titre, un certain nombre de chaînes d’approvisionnement particulières peuvent être définies dans ces secteurs verticaux : l’exploitation du pétrole au large et les activités sous-marines, la surveillance aux fins de défense, les sciences océaniques, la construction navale et les systèmes embarqués, la biotechnologie, ainsi que les pêches et l’aquaculture. Les principales régions géographiques de marchés cibles, ainsi que les principales tendances du marché et les principaux moteurs de demande seront établis.

Cette séance inclura une série de présentations, suivie d’une discussion.

 

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Séance 5A : Horizon 2020 – le programme-cadre pour la recherche et l’innovation de l’Union européenne – un océan de possibilités pour la collaboration

Domaine de défi

Travailler en vue de donner une voix cohérente à la communauté des sciences océaniques dans les forums internationaux

Chef de séance

Sigi Gruber, chef d’équipe, Unité des ressources marines, Direction de la bioéconomie, Recherche et Innovation, Commission européenne

Conférenciers additionnels

S. O.

Résumé

Cette séance illustrera la raison pour laquelle les chercheurs canadiens, les intervenants du secteur des océans, ainsi que les représentants du public et du secteur privé devraient participer aux projets de collaboration avec l’Europe et le monde, grâce au programme Horizon 2020 (le programme-cadre de recherche et d’innovation le plus important de l’Union européenne avec près de 80 milliards d’euros de financement disponible sur sept ans).

L’Alliance de recherche de l’océan Atlantique (AORA), conclue entre le Canada, l’Union européenne et les États-Unis, et établie par la déclaration de Galway sur la coopération dans l’océan Atlantique, offre un cadre qui permet de créer des occasions dans l’ensemble de l’océan Atlantique.

Ne ratez pas l’occasion de découvrir de nouvelles choses et de participer à la discussion!

 

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Séance 5B : L’élimination du cloisonnement est essentielle pour faire progresser les objectifs de la Décennie des Nations Unies pour les sciences océaniques

Domaine de défi

Travailler en vue de donner une voix cohérente à la communauté des sciences océaniques dans les forums internationaux

Chef de séance

Wendy Watson-Wright, PDG, Ocean Frontier Institute

Conférenciers additionnels

Arran McPherson, sous-ministre adjoint par intérim, Sciences des écosystèmes et des océans, Pêches et Océans Canada

Panélistes :

  • Brad deYoung, Robert A. Bartlett, professeur d’océanographie à l’Université Memorial de Terre-Neuve, à St. John’s (Terre-Neuve-et-Labrador)

  • Peter Heffernan, chef de la direction, Marine Institute, Galway, Irlande

  • Catherine Lambert Koizumi, directrice exécutive, Association de gestion halieutique autochtone Mi’gmaq et Malécite, Gesgapegiag (Québec)

Résumé

Lors de la 72e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, qui a eu lieu en 2017, les années 2021 à 2030 ont été proclamées Décennie des Nations Unies pour les sciences océaniques au service du développement durable. Cette proclamation vise à mettre un terme à la détérioration de la santé des océans en cernant des mesures qui assureront le développement durable des milieux marins. Afin d’atteindre les objectifs fixés pour la Décennie de l’ONU, il est essentiel d’appliquer des solutions d’une façon qui favorise la collaboration à l’échelle mondiale. Cette séance se penchera sur trois façons dont l’adoption d’une approche intégrée et coopérative permet de surmonter efficacement les obstacles auxquels se heurtent nos océans :

  1. Comment les partenaires internationaux unissent leurs efforts pour examiner les agents de stress cumulatifs à grande échelle touchant l’océan.

  2. Comment les chercheurs adoptent de nouvelles approches pour élaborer et coordonner des technologies d’observation en mer et, ce faisant, tirer une plus grande valeur des observations réalisées.

  3. Comment la mobilisation des intervenants autochtones et l’utilisation du savoir traditionnel peuvent aider à comprendre les changements qui surviennent dans les océans et à trouver des solutions qui généreront des avantages pour la communauté.

La séance comprendra un aperçu des objectifs que les Nations Unies s’attendent à réaliser au cours de la Décennie pour les sciences océaniques au service du développement durable, ainsi qu’une discussion interactive avec les membres du public sur les diverses solutions qui pourraient être appliquées.

 

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Séance 5C : Les enjeux et les possibilités pour l’engagement du Canada à l’égard des sciences océaniques à l’échelle internationale

Domaine de défi

Travailler en vue de donner une voix cohérente à la communauté des sciences océaniques dans les forums internationaux

Chef de séance

Lynda Watson, Directrice générale, Science Technology and Innovation, Global Affairs Canada

Conférenciers additionnels

Panélistes:

  • Nadia Bouffard, Directrice générale, Relations externes, Pêches et oceans Canada

  • Laird Hindle, Directeur adjoint, Développement, Affaires mondiales Canada

  • Peter Aikat, Agent en innovation,Science, technologie et innovation, Affaires mondiales Canada

Résumé

S.O.

 

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Séance 6A : Plateforme communautaire de l’AROC visant à faciliter la communication et la collaboration

Domaine de défi

Communiquer les technologies et les sciences océaniques

Chef de séance

Britt Dupuis, Pêches et Océans Canada, secrétariat de l’AROC

Conférenciers additionnels

S. O.

Résumé

L’Alliance de la recherche océanique au Canada exploite un nouvel espace de collaboration qui sert de point central pour sa communauté de praticiens et leurs activités. Ce site SharePoint a été conçu en vue de faciliter et de favoriser une approche coordonnée hautement collaborative en matière de technologies et de sciences océaniques au Canada. Il vise à surmonter plusieurs défis et obstacles importants auxquels se heurtent les efforts de coordination et qui ont été relevés par la communauté en renforçant la transparence, la communication et la collaboration d’une façon inclusive, souple et résiliente.

Cette plateforme en ligne est un outil évolutif pouvant soutenir et faciliter vos activités dans le cadre de votre collaboration avec vos partenaires dans le but de faire progresser les technologies et les sciences océaniques dans votre domaine. Elle est déployée et dirigée par la communauté. Cet espace à accès restreint peut vous aider à travailler sur des documents partagés avec votre groupe de travail, à trouver des panélistes pour vos réunions, à consulter la communauté relativement à des enjeux précis, à trouver de potentiels partenaires de recherche, à rester à l’affût des événements à venir, et plus encore. L’objectif est de faire de ce site un guichet unique favorisant la collaboration dans le domaine des sciences océaniques au Canada.

Cet outil gratuit, hautement collaboratif et fonctionnel, est dès maintenant à la disposition de la communauté, et il continuera d’évoluer afin de répondre aux besoins de celle-ci. Cette séance interactive vise à vous présenter l’outil tout en vous donnant l’occasion de le façonner pour l’avenir.

 

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Séance 6B : Donner un sens à la science pour les Canadiens : améliorer la communication et la participation afin d’augmenter l’impact de la recherche scientifique

Domaine de défi

Communiquer les technologies et les sciences océaniques

Chef de séance

Tara Donaghy, Pêches et Océans Canada, secrétariat de l’AROC.

Conférenciers additionnels

Sophie Malavoy, directrice de Cœur des sciences - un centre culturel scientifique).

Dariusz Burzinski, gestionnaire, Regroupement des S-T, Innovation, Sciences et Développement économique Canada

Résumé

Cette séance portera sur la façon dont la communauté de l’AROC peut collaborer pour améliorer l’efficacité et l’impact de nos communications scientifiques auprès des Canadiens.

Sophie Malavoy fera part de ses observations et conseils sur la façon de relever quelques-uns des défis communs auxquels font face les scientifiques lorsqu’ils communiquent les résultats de leur recherche ainsi que les incertitudes et le risque liés à celle-ci. Dariusz Burzynski présentera les efforts actuels et leur évolution afin de rassembler les agences et ministères fédéraux à vocation scientifique et technologique ainsi que les professionnels du milieu au sein d’une communauté vouée à la communication scientifique auprès des Canadiens.

La deuxième moitié de la séance comprendra une discussion de groupe sur la façon dont cette communauté peut collaborer pour améliorer la manière dont nous faisons part de nos connaissances scientifiques et communiquons auprès des Canadiens.

Voici quelques questions qui seront abordées durant la séance :

  • Quels sont les obstacles à la communication scientifique?

  • Quels sont les outils, initiatives ou pratiques exemplaires sur lesquels la communauté pourrait s’appuyer pour améliorer l’efficacité de notre communication scientifique collective?

  • Comment cette communauté peut-elle appuyer les efforts individuels des scientifiques pour aider les autres à mieux comprendre la recherche et à agir en conséquence?

  • Quelles activités ou initiatives rapidement réalisables au cours des 12 à 18 prochains mois pourraient être avalisées ou mises en œuvre par cette communauté?

Nous avons tous un rôle à jouer, individuellement et collectivement, pour faire en sorte que nos recherches comptent pour les Canadiens. Veuillez vous joindre à nous pour faire part de votre expertise et de vos idées lors de cette discussion.

 

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Séance 6C : Plan de développement sur la connaissance des océans : une voie essentielle pour mobiliser les connaissances en matière de sciences océaniques

Domaine de défi

Communiquer les technologies et les sciences océaniques.

Chefs de séance

Tara Donaghy, Pêches et Océans Canada)

Janet Stalker, Ocean Frontier Institute

Heather Murray, CaNOE

Conférenciers additionnels

Lisa (Diz) Glithero, expédition Canada C3 et fondation Students on Ice

Jason Armstrong, Ingenium Corp.

Résumé

Cette séance sera axée sur la manière d’accroître la communication efficace des connaissances relatives aux sciences et aux technologies océaniques et de collaborer avec des secteurs d’influence précis dans le but de trouver de nouvelles façons d’aider le grand public à mieux comprendre les océans. Vous aurez l’occasion de fournir vos commentaires concernant la première plan de développement sur la connaissance des océans tandis que progresse la stratégie nationale visant à promouvoir la connaissance des océans au Canada.

Le concept de connaissance des océans rassemble les dimensions scientifique, socioéconomique et culturelle du rapport que l’être humain entretient avec l’océan. Il est fortement lié à des comportements positifs à l’égard des océans et à la prise de décisions éclairées. L’élaboration stratégique d’activités de connaissance des océans au Canada et partout dans le monde est essentielle pour progresser vers l’atteinte des 14 objectifs de développement durable des Nations Unies et pour établir une dynamique durable entre l’homme et l’océan.

Pêches et Océans Canada a appuyé l’élaboration d’une première « plan de développement » visant à faire progresser de façon stratégique la connaissance des océans au Canada. Cette séance présentera des commentaires utiles formulés par la communauté des sciences et des technologies océaniques et d’autres experts en la matière dans le but de créer une ébauche révisée du plan de développement avant que celle-ci ne soit rendue publique pour une dernière série de consultations et de révisions.

Voici quelques questions qui seront abordées durant la séance :

  • Qu’est-ce qui stimule la participation des scientifiques aux activités de promotion de la connaissance des océans?

  • Quels sont les obstacles à la participation des scientifiques?

  • Quels incitatifs, cheminements, solutions ou mesures pourraient favoriser la contribution de la communauté des sciences océaniques à la promotion de la connaissance des océans au Canada?

  • Par quels moyens efficaces les organisateurs de projet peuvent-ils obtenir les commentaires de la communauté des sciences océaniques au sujet de cette initiative?

Venez offrir votre expertise et donner votre avis sur ce projet collaboratif tout en aidant le Canada à suivre les efforts déployés à l’international en matière de connaissance et de conservation des océans tandis que nous nous préparons en vue de la Décennie 2021-2030 des Nations Unies pour les sciences océaniques au service du développement durable.

 

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