Coordination du programme et partenariats autochthones (2016-2017)

Table des matières

Coordination et administration du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord

Chef du projet

Sarah Kalhok Bourque, Direction des sciences et de la recherche sur les contaminants dans le Nord, Affaires autochtones et Développement du Nord Canada, Gatineau
Tél. : 819-934-1107; téléc. : 819-934-1390; courriel : Sarah.Kalhok@aadnc-aandc.gc.ca.

Équipe de projet

Membres du comité de gestion du PLCN; secrétariat du PLCN; quatre organisations partenaires autochtones; Comités régionaux des contaminants; Institut Arctique de l’Amérique du Nord, Responsable de la base de données ASTIS

Durée du projet : continu

**Les projets dessous étaient auparavant financés sous le projet « Coordination et administration du Programme de lutte contre les contaminants dans le nord » :

Réseau d'échantillonnage atmosphérique passif (EAP) à l'appui du plan de suivi mondial (évaluation de l'efficacité) de la Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants; Facilitation de l’action internationale relative au transport à grande distance de contaminants dans l’Arctique et l'appui du Canada pour le programme de surveillance et d’évaluation de l’Arctique; Base de données des publications du PLCN; Programme Assurance Qualité Interlaboratoire du PLCN; Soutien au Réseau canadien d'information sur la cryosphère / Catalogue de données polaire


Sommaire du projet (2016-2017)

Le secrétariat du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord (PLCN) est dirigé par Affaires autochtones et du Nord Canada. Le secrétariat du PLCN assure la coordination et le soutien administratifs, financiers et logistiques nécessaires pour réaliser le programme. Cela comprend l’élaboration et la mise en œuvre de stratégies et de plans opérationnels pour le PLCN sous la direction du Comité de gestion du PLCN. L’année 2016-2017 marque le 25e anniversaire du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord. Voici quelques-uns des faits saillants pour 2016-2017 : gérer le financement et les exigences relatives à la présentation de rapports pour les bénéficiaires du financement actuels; coordonner les appels de propositions pour l’exercice financier 2017-2018, y compris les examens du schéma directeur et un processus d’examen complet; planifier et exécuter les initiatives pour le 25e anniversaire du PLCN; organiser et présenter l’atelier sur la communication de risque et la biosurveillance; élaborer et publier le synopsis de recherche annuel, le Rapport sur les faits saillants de l’évaluation des contaminants dans l’Arctique canadien, phase III (RECAC III), la première publication dans le cadre du RECAC IV (santé humaine) ainsi que les résumés des sujets de surveillance de base; améliorer davantage et mettre à jour le site Web du PLCN et les autres types de communications; faciliter les mises à jour importantes du Guide de gestion des opérations et des Lignes directrices sur la recherche responsable ainsi que les mises à jour annuelles au plan stratégique du PLCN; élaborer et mettre en œuvre la première politique de gestion des données du PLCN; tenir à jour la base de données des publications du PLCN; fournir du soutien au Polar Data Catalogue; gérer et mettre en œuvre le programme d’assurance de la qualité et contrôle de la qualité (AQ/CQ) du PLCN/PSEA; et mettre en œuvre les mesures établies lors des réunions du Comité de gestion du PLCN au printemps et à l’automne.


Synopsis (2015-2016)

Le Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord (PLCN) fait participer les habitants du Nord et les scientifiques à la recherche et à la surveillance axées sur les contaminants transportés sur de longues distances, et à l’utilisation des données obtenues aux fins suivantes : 1) évaluer les écosystèmes et la santé humaine en vue d’assurer la salubrité et la sécurité des aliments régionaux et traditionnels qui sont importants pour la santé et le mode de vie traditionnel des collectivités du Nord, et 2) éclairer les politiques qui donnent lieu à des mesures visant à éliminer les contaminants de sources lointaines. Le Secrétariat du PLCN, au sein d’Affaires autochtones et du Nord Canada, assure la coordination et le soutien administratifs, financiers et logistiques nécessaires pour réaliser le PLCN au pays, et il facilite la participation du Canada, sur la scène internationale, aux initiatives et à la réglementation concernant le transport à grande distance de contaminants dans l’Arctique. Points saillants pour 2015-2016, notamment : 1) les décisions concernant le financement de la réunion du Comité de gestion d’avril 2015 ont entraîné le financement de 56 projets dans le cadre d’un total de 27 accords de contribution (y compris les modifications), cinq lettres d’entente interministérielles, ainsi que des transferts à cinq régions; 2) le 21e Atelier sur les résultats du PLCN a eu lieu à l’hôtel Westin Bayshore de Vancouver (Colombie-Britannique) les 7 et 8 décembre 2015 avant la tenue de la Conférence scientifique annuelle ArcticNet; 3) le troisième Rapport de l’évaluation des contaminants dans l’arctique canadien, intitulé « Les contaminants dans le nord du Canada : Sommaire à l’intention des décideurs » a été distribué au début de 2015-2016, en commençant par les membres du Comité de gestion du PLCN à la réunion d’avril, et est également disponible en ligne sur le site Web du PLCN et dans la base de données des publications du PLCN; 4) le Comité d’examen des polluants organiques persistants a recommandé que le décaBDE soit ajouté à l’annexe A de la Convention de Stockholm et a fait progresser l’évaluation des paraffines chlorées à courte chaîne (PCCC) et de l’acide perfluorooctanoïque (APFO); et 5) les renseignements sur les activités de surveillance et de recherche sur le mercure du PLCN ont été ajoutés à l’inventaire national canadien, qui a été soumis à la Convention de Minamata du Programme des Nations Unies pour l’environnement aux fins de présentation à la septième réunion du Comité intergouvernemental de négociation qui a eu lieu en Jordanie du 10 au 15 mars.

Messages clés

  • Le secrétariat du PLCN assure la coordination et le soutien administratifs, financiers et logistiques nécessaires pour réaliser le programme.
  • Le PLCN facilite la collaboration internationale afin de déterminer l’importance des sources de contaminants venus de loin, de leurs voies de transport et des répercussions possibles sur l’environnement et la santé humaine, et il aide à établir et à mettre en œuvre les mesures internationales de limitation des émissions et des rejets des contaminants qui importent pour les populations du Nord canadien.
  • La Convention de Minamata sur le mercure, un accord international juridiquement contraignant pour réduire les émissions et les rejets de mercure dans l’environnement, a été signée par le Canada en octobre 2013, et, depuis juillet 2016, compte 128 pays signataires et 28 ratifications. Les données, les renseignements et l’expertise issus du PLCN ont grandement contribué à la signature de cet accord historique. La Convention entrera en vigueur 90 jours après que 50 pays auront ratifié le traité. Le Canada travaille actuellement pour être en mesure de ratifier et de mettre en œuvre le traité.
  • La septième Conférence des Parties de la Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants (POP) a eu lieu du 4 au 8 mai 2015. On a convenu à la réunion d’ajouter trois substances chimiques supplémentaires à l’annexe A (pour élimination) : le pentachlorophénol (PCP) ainsi que ses sels et ses esters, les polychloronaphthalènes (PCN : di, tri, tétra, penta, hexa, hepta, octa) et l’hexachlorobutadiène (HCBD).
  • Le PLCN demeure le principal intervenant canadien s’intéressant aux problèmes liés aux contaminants dans le cadre du Programme de surveillance et d’évaluation de l’Arctique (PSEA) du Conseil de l’Arctique. En février 2016, le PSEA a publié son évaluation de 2015 sur la santé humaine dans l’Arctique, qui peut être téléchargée à partir du site Web du PSEA (www.AMAP.no). L’évaluation de la santé humaine a été codirigée par Shawn Donaldson, de Santé Canada, et a été appuyée par des partenaires autochtones et des scientifiques financés par le PLCN qui agissaient comme responsables de chapitres et auteurs collaborateurs.

 


Synopsis (2014-2015)

Résumé

Le Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord (PLCN) mobilise les habitants du Nord et les scientifiques pour participer à la recherche et à la surveillance axées sur les contaminants transportés sur de longues distances, et pour employer les données obtenues aux fins suivantes : 1) évaluer les écosystèmes et la santé humaine en vue d’assurer la salubrité et la sécurité des aliments régionaux et traditionnels qui sont importants pour la santé et le mode de vie traditionnel des collectivités du Nord et 2) éclairer les politiques qui donnent lieu à des mesures visant à éliminer les contaminants des sources lointaines. Le secrétariat du PLCN, au sein d’Affaires autochtones et Développement du Nord Canada, assure la coordination et le soutien administratifs, financiers et logistiques nécessaires pour réaliser le PLCN au pays, et il facilite la participation du Canada sur la scène internationale aux initiatives et à

la réglementation concernant le transport à grande distance de contaminants dans l’Arctique. Voici quelques-uns des faits saillants en 2014-2015 : i) publication du document intitulé Les contaminants dans le nord du Canada :Sommaire à l’intention des décideurs résumant les principales conclusions du Troisième rapport de l’évaluation des contaminants dans l’Arctique canadien rédigé récemment; ii) participation importante de scientifiques et du secrétariat du PLCN au groupe de travail circumpolaire du Programme de surveillance et d’évaluation de l’Arctique (PSEA), en tant que coauteurs et coprésidents de groupes d’experts scientifiques travaillant sur une mise à jour des rapports d’évaluation circumpolaires, et en tant que chef de la délégation du Canada et vice-président du PSEA au cours de la dernière année de présidence du Canada au Conseil de l’Arctique(2013-2015); iii) mise en œuvre de nouveaux processus de gestion, y compris de nouveaux protocoles et de nouvelles lignes directrices sur l’établissement des rapports de mi- exercice relatifs aux projets et sur les demandes de financement; iv) renforcement du partenariat avec la Station canadienne de recherche dans l’Extrême-Arctique (SCREA) [à présent baptisée Savoir polaire Canada], grâce à la participationdu SCREA au comité de gestion du PLCN entant qu’observateur et à la participation du PLCN au Comité consultatif sur les sciences et la technologie du SCREA, et v) participation de plusieurs chercheurs et de partenaires du PLCN à la conférence internationale Arctic Change qui a eu lieu à Ottawa du 8 au 12 décembre 2014,y compris à la séance spéciale sur les contaminants.

Messages clés

  • Le secrétariat du PLCN assure la coordination et le soutien administratifs, financiers et logistiques nécessaires pour réaliser le programme.
  • Le PLCN facilite la collaboration internationale afin de déterminer l’importance des contaminants venus de loin, de leurs sources, de leurs voies de transport et de leurs incidences possibles sur l’environnement et la santé humaine, et il aide à établir et à mettre en œuvre les mesures internationales de limitation des rejets des contaminants qui importent pour les populations du Nord canadien.
  • La Convention de Minamata sur le mercure, traité juridiquement contraignant qui vise à réduire les rejets de mercure dans l’environnement, a été signée par le Canada en octobre 2013. Maintenant, 128 pays l’ont signée et 12 l’ont ratifiée afin de réduire la pollution par le mercure à l’échelle mondiale et de protéger l’environnement et la santé humaine. Par ses informations et ses compétences, le PLCN a beaucoup contribué à la conclusion de cette convention historique.
  • La Convention entrera en vigueur 90 jours après que 50 pays auront ratifié le traité(le Canada ne l’a pas encore fait). Pendant ce temps, les préparatifs pour l’entrée en vigueur sont en cours.
  • La septième Conférence des Parties de la Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants (POP) a eu lieu du 4 au 8 mai 2015. On a convenu à la réunion d’ajouter trois substances chimiques supplémentaires à l’annexe A (pour élimination) : le pentachlorophénol(PCP) ainsi que ses sels et ses esters, lespolychloronaphthalènes (PCN) : di, tri, tétra, penta, hexa, hepta, octa), etl’hexachlorobutadiène (HCBD).
  • Le Troisième rapport de l’évaluation des contaminants dans l’Arctique canadien (RECAC) Les contaminants dans le nord du Canada : Sommaire à l’intention des décideurs, publié en avril 2015, résume les faits saillants intégrés et les principales conclusions des trois plus récents rapports d’évaluation du PLCN (sur les POP [2013], le mercure [2012], et la santé [2009]). Un Rapport sur les faits saillants plus pertinent, plus détaillé et contenant des renseignements supplémentaires sur les régions sera publié en 2015.
  • Le PLCN continue d’être le principal intervenant du Canada au sujet des contaminants auprès du Programme de surveillance et d’évaluation de l’Arctique du Conseil de l’Arctique (PSEA), effectuant des mises à jour au sujet des évaluations de la santé humaine et des POP dans la région circumpolaire pendant la présidence du Canada au Conseil de l’Arctique (2013-2015). Le président du comité de gestion du PLCN conserve le poste de chef de la délégation canadienne du PSEA et le conseil circumpolaire inuit-Canada continue de représenter les Inuits en tant que membre permanent du groupe de travail du PSEA.

 


Synopsis (2013-2014)

Résumé

Le Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord (PLCN) mobilise les habitants du Nord et les scientifiques pour participer à la recherche et à la surveillance axées sur les contaminants transportés sur de longues distances, et pour employer les données obtenues aux fins suivantes : 1) évaluer les écosystèmes et la santé humaine en vue d’assurer la salubrité et la sécurité des aliments régionaux et traditionnels qui sont importants pour la santé et le mode de vie traditionnel des collectivités du Nord et 2) éclairer les politiques qui donnent lieu à des mesures visant à éliminer les contaminants des sources lointaines. Le secrétariat du PLCN, au sein d’Affaires autochtones et Développement du Nord Canada, assure la coordination et le soutien administratifs, financiers et logistiques nécessaires pour réaliser le PLCN au pays, et il facilite la participation du Canada sur la scène internationale aux initiatives et à la réglementation concernant le transport à grande distance de contaminants dans l’Arctique. Voici quelques-uns des faits saillants en 2013-2014 : (i) la signature de la Convention de Minamata sur le mercure, en octobre 2013 – les informations et les compétences du PLCN ont étaient déterminantes pour le rôle moteur assumé par le Canada et le Conseil de l’Arctique en vue de maîtriser les sources mondiales d’émissions atmosphériques de mercure, (ii) la publication du Rapport de l’évaluation des contaminants dans l’Arctique canadien, phase III (RECAC III), qui constitue la première évaluation à porter exclusivement sur les polluants organiques persistants dans l’Arctique canadien, (iii) l’atelier sur les résultats du PLCN , tenu en septembre 2013 à Ottawa, a attiré quelque 200 participants et marqué le 20e anniversaire du programme le plus ancien du Canada en matière de recherche et de surveillance dans le Nord et (iv) les contributions importantes des scientifiques et du secrétariat du PLCN aux travaux du groupe de travail du Programme de surveillance et d’évaluation de l’Arctique (PSEA), dans les rôles de coauteurs et de coprésidents des groupes de spécialistes travaillant à la mise à jour des rapports d’évaluation de la région circumpolaire et dans les rôles de chef de délégation et de vice-président au PSEA, au moment où le Canada assure la présidence du Conseil de l’Arctique (2013-2015).

Messages clés

  • Le secrétariat du PLCN assure la coordination et le soutien administratifs, financiers et logistiques nécessaires pour réaliser le programme.
  • Le PLCN facilite la collaboration internationale afin de déterminer l’importance des contaminants venus de loin, de leurs sources, de leurs voies de transport et de leurs incidences possibles sur l’environnement et la santé humaine, et il aide à établir et à mettre en œuvre les mesures internationales de limitation des rejets des contaminants qui importent pour les populations du Nord canadien.
  • La Convention de Minamata sur le mercure, traité juridiquement contraignant qui vise à réduire les rejets de mercure dans l’environnement, a été signée par le Canada en octobre 2013. Maintenant, 100 pays l’ont signée, unis dans un effort pour réduire la pollution par le mercure à l’échelle mondiale et protéger l’environnement et la santé humaine. Par ses informations et ses compétences, le PLCN a beaucoup contribué à la conclusion de cette convention historique.
  • Le RECAC III sur les polluants organiques persistants (POP) dans le Nord canadien, publié en décembre 2013, présente les résultats des activités de recherche et de surveillance menées dans le cadre du PLCN, résume les dernières avancées scientifiques et fait le point sur ce qu’on connaît des POP dans l’Arctique canadien. Le rapport montre que l’action internationale à l’égard des POP contribue à réduire la pollution dans l’Arctique et à améliorer la santé des habitants du Nord; cela dit, certains nouveaux produits chimiques qui ne sont pas visés par des accords internationaux sont détectés dans l’environnement de l’Arctique à des concentrations croissantes, et ils nécessitent une étude approfondie.
  • L’atelier sur les résultats du PLCN, qui a marqué le 20e anniversaire du programme, a donné l’occasion de réfléchir aux réalisations et aux défis qui ont jalonné l’histoire du PLCN depuis sa création en 1991 et de se préparer à ses nouvelles orientations. On a notamment résumé les résultats scientifiques jusqu’ici, salué les partenariats qui ont été établis et souligner les façons dont les données et les partenaires du PLCN ont poussé à agir face aux contaminants dans le Nord canadien.
  • Le PLCN continue d’être le principal intervenant du Canada au sujet des contaminants auprès du Programme de surveillance et d’évaluation de l’Arctique du Conseil de l’Arctique, effectuant des mises à jour au sujet des évaluations de la santé humaine et des POP dans la région circumpolaire.
 

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Activités du Conseil des Premières Nations du Yukon à l’appui du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord

Chef de projet

Bob Van Dijken, Conseil des Premières Nations du Yukon
Tél. : (867) 393-9237; Téléc. : (867) 668-6577; Courriel : Bob.VanDijken@cyfn.net

Équipe de projet

Premières Nations du Yukon, Comité des contaminants du Yukon.

Durée du projet : continu


Sommaire du projet (2016-2017)

Le Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord (PLCN) a été créé en 1991 en réponse aux inquiétudes que suscitait l’exposition des humains à des niveaux élevés de contaminants dans les poissons et les espèces sauvages, qui constituent le régime alimentaire traditionnel des populations autochtones du Nord. Dans le cadre de la première phase du PLCN, des recherches ont été menées afin de déterminer la concentration des contaminants que l’on retrouve dans le Nord, leur portée géographique et leur origine. Les résultats de la première phase du PLCN ont été publiés en 1997 dans le rapport d’évaluation des contaminants dans l’Arctique canadien (publié en anglais seulement sous le titre Canadian Arctic Contaminants Assessment Report). La deuxième phase du PLCN, qui a commencé en 1998, portait principalement sur les répercussions et les risques pour la santé humaine associés aux niveaux de contamination que l’on retrouve actuellement chez certaines espèces largement consommées dans l’Arctique. Le Programme vise à prendre des mesures dans les secteurs hautement prioritaires, notamment les collectivités dont les membres sont exposés à des concentrations de contaminants qui préoccupent les autorités sanitaires. Bien que le Yukon ne soit pas un territoire hautement prioritaire, le Conseil des Premières Nations du Yukon (CPNY) continue d’être membre du Comité national de gestion et du Comité des contaminants du Yukon, d’y jouer un rôle positif et de participer au Programme de surveillance et d’évaluation de l’Arctique du Conseil de l’Arctique. Les objectifs, les structures, les stratégies et les recherches du PLCN sont communiqués à toutes les collectivités du Yukon, y compris aux membres et aux administrateurs du CPNY, au besoin.


Synopsis (2015-2016)

Résumé

Au cours de l’année, le Conseil des Premières Nations du Yukon a poursuivi sa fonction de membre du Comité de gestion du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord (PLCN) et a répondu aux demandes de renseignements, participé aux activités du comité régional des contaminants, informé les Premières Nations du Yukon au sujet de l’appel annuel de propositions, tenu à jour le site Web du PLCN au Yukon et collaboré avec les chercheurs du PLCN qui travaillent au Yukon.

Messages clés

  • Les concentrations de contaminants sont en général faibles au Yukon.
  • Il faut continuer la surveillance, car de nouveaux contaminants susceptibles de poser des problèmes sont rejetés dans l’atmosphère et dans l’eau.
  • Les effets des changements climatiques sur la mobilité des contaminants et les besoins en matière de charge en contaminants doivent faire l’objet d’un suivi.
  • Les travaux liés au Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord sont toujours pertinents aux niveaux local, régional, national et international.

 


Synopsis (2014-2015)

Résumé

Au cours de l’année écoulée, le Conseil des Premières Nations du Yukon (CPNY) a poursuivi sa fonction de membre du Comité de gestion du PLCN, et a répondu aux demandes de renseignements, participé aux activités du comité régional des contaminants, informé les Premières Nations du Yukon au sujet de l’appel annuel de propositions, tenu à jour le site Web du PLCN au Yukon et collaboré avec les chercheurs du PLCN qui travaillent au Yukon.

Messages clés

  • Les aliments traditionnels au Yukon sont sans danger.
  • Les concentrations de contaminants sont en général faibles au Yukon.
  • Il faut continuer la surveillance, car il est rejeté dans l’atmosphère et dans l’eau de nouveaux contaminants qui sont susceptibles de poser des problèmes.

 


Synopsis (2013-2014)

Résumé

Au cours de l’année écoulée, le Conseil des Premières Nations du Yukon a poursuivi sa fonction de membre du Comité de gestion du PLCN et a répondu aux demandes de renseignements, participé aux activités du comité régional des contaminants, informé les Premières Nations du Yukon au sujet de l’appel annuel de propositions, tenu à jour le site Web du PLCN au Yukon et collaboré avec les chercheurs du PLCN qui font des recherches au Yukon.

Messages clés

  • Les aliments traditionnels au Yukon sont sans danger.
  • Les concentrations de contaminants sont en général faibles dans les aliments traditionnels au Yukon.
  • Il faut continuer de surveiller les contaminants, car il est rejeté dans l’atmosphère et dans l’eau de nouveaux produits chimiques qui sont susceptibles de poser des problèmes.
 

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Participation de la Nation dénée aux travaux du Comité de gestion et du Comité régional des contaminants des Territoires du Nord-Ouest

Chef de projet

Rolland Pangowish, directeur, Terres et environnement, Dene National Office/bureau régional de l’Assemblée des Premières Nations (T.N.-O.), Yellowknife
Tél.: (867) 873-4081, x.34; Téléc. : (867) 920-2254; courriel : lands@denenation.com

Équipe de projet

Bill Erasmus, chef du Dene National Office/chef du bureau régional de l’APN des T.N.-O.; Première dirigeante, Dene National Office/bureau régional de l’APN ; Membres du comité de gestion du PLCN ; Comité régional des contaminants des Territoires du Nord-Ouest

Durée du projet : continu


Sommaire du projet (2016-2017)

Le projet soutient la Nation dénée en tant que partenaire autochtone du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord (PLCN) qui participe activement à la coordination régionale et nationale du programme. La Nation dénée fournit des conseils aux responsables du PLCN et agit en tant qu’agent de liaison des activités du programme pour les membres. Au cours des 20 dernières années, la recherche parrainée par le PLCN a fourni aux Autochtones du Nord de l’information sur les contaminants transportés sur de grandes distances, les parcours qu’ils empruntent et leurs répercussions dans le Nord canadien. La Nation dénée communique les objectifs et les résultats des recherches du PLCN à toutes les collectivités du Denendeh et à leurs dirigeants. Elle cherche également à accroître sa capacité d’offrir des services à ses membres pour répondre aux enjeux liés à la contamination. Ces enjeux englobent l’incidence sur la sécurité alimentaire des Dénés et une meilleure utilisation des connaissances écologiques traditionnelles dans l’évaluation de ces répercussions, avec l’apport du comité des aînés, des chasseurs traditionnels et d’autres recherches connexes. Les activités internationales associées aux contaminants s’inscrivent dans le cadre d’allocutions présentées par le personnel et le chef national de la Nation dénée par l’entremise de l’Arctic Athabaskan Council. Cette méthode convient bien à l’examen de questions internationales à l’échelle circumpolaire (c.-à-d. Conseil de l’Arctique).


Synopsis (2015-2016)

Résumé

Pendant l’exercice 2014-2015, la Nation dénée a reçu du financement pour la coordination nationale et régionale du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord. Ce financement lui a permis de participer aux travaux du Comité de gestion du Programme et du Comité régional des contaminants des Territoires du Nord-Ouest (CRCTNO), pour aider le programme à atteindre ses objectifs. Le principal objectif du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord est de réduire et d’éliminer les contaminants présents dans les aliments traditionnels, tout en fournissant de l’information pour aider les individus et les collectivités à prendre des décisions éclairées au sujet de leur alimentation. En sa qualité d’organisation nationale représentant des membres des Premières Nations, la Nation dénée est bien placée pour examiner des propositions de recherche présentées dans le cadre du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord, faire en sorte que les recherches soient pertinentes pour les Dénés, et qu’elles s’effectuent de manière respectueuse et adaptée à leur réalité culturelle. Pendant le processus d’examen, la Nation dénée formule aussi des recommandations pour que les ressources les plus pertinentes et les systèmes de soutien dans les collectivités dénées soient utilisés, et que les chercheurs tiennent compte adéquatement des objectifs du renforcement des capacités et de l’intégration du savoir traditionnel. Grâce au financement versé dans le cadre du PLCN, la Nation dénée a pu, en plus de participer aux réunions du Comité de gestion et du CRCTNO, participer à des téléconférences, communiquer par courriel, assister à d’autres réunions et effectuer le travail de suivi pour s’assurer que ses employés sont au fait des progrès du Programme et des autres questions liées aux contaminants transportés à grande distance dans l’Arctique. La Nation dénée est un partenaire autochtone qui participe activement au Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord, notamment pour ce qui est de la coordination nationale et régionale du PLCN. Une partie du financement du PLCN est réservée pour permettre aux partenaires autochtones de participer aux activités du Comité national de gestion du Programme et du Comité régional des contaminants. La Nation dénée fait office d’agent de liaison pour conseiller le PLCN au sujet des contaminants dans les collectivités dénées. Elle est l’hôte d’une assemblée nationale de la Nation et de deux réunions des dirigeants par année dans le Denendeh, à l’occasion desquelles des rapports d’activité du PLCN sont présentés aux dirigeants et aux membres de la Nation dénée. On y explique aussi la participation des Dénés à ce projet.

Messages clés

  • Participation aux travaux du Comité de gestion du PLCN
  • Participation au Comité régional des contaminants des Territoires du Nord-Ouest
  • Conseille le PLCN au sujet des contaminants dans les collectivités dénées
  • Informe les membres de la Nation dénée au sujet des activités du PLCN

 


Synopsis (2013-2014)

Résumé

Dans l’exercice 2013-2014, la Nation dénée a reçu du financement du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord pour renforcer les capacités des partenaires autochtones du Denendeh (Territoires du Nord-Ouest). Ce financement lui a permis de participer aux travaux du Comité de gestion du PLCN et du Comité régional des contaminants des Territoires du Nord-Ouest, pour aider le programme à atteindre ses objectifs.

En sa qualité d’organisation nationale représentant des Premières Nations, la Nation dénée est bien placée pour examiner des propositions de recherche présentées dans le cadre du PLCN et faire en sorte que les recherches soient pertinentes pour les Dénés et qu’elles s’effectuent de manière respectueuse et adaptée à leur réalité culturelle. Elle formule des recommandations pour que les ressources les plus pertinentes et les systèmes de soutien dans les collectivités dénées soient utilisés et que les chercheurs tiennent compte adéquatement des objectifs du renforcement des capacités et de l’intégration du savoir traditionnel.

La Nation dénée est un partenaire autochtone actif du PLCN. Elle fait office d’agent de liaison pour conseiller le PLCN au sujet des contaminants dans les collectivités dénées. La Nation dénée est l’hôte d’une assemblée de la Nation et de deux réunions des dirigeants par année dans le Denendeh, à l’occasion desquelles des rapports d’activité du PLCN sont présentés aux dirigeants et aux membres de la Nation dénée.

Messages clés

  • La Nation dénée participe aux travaux du Comité de gestion et du Comité régional des contaminants des Territoires du Nord-Ouest.
  • La Nation dénée conseille le PLCN au sujet des contaminants dans les collectivités dénées.
 

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Conseil circumpolaire inuit – activités du Canada en appui aux activités et aux outils visant les contaminants circumpolaires et mondiaux

Chef de projet

Tom Sheldon, Conseil circumpolaire inuit-Canada

Équipe de projet

Duane Smith, Selma Ford and Stephanie Meakin, Conseil circumpolaire inuit-Canada


Sommaire du projet (2016-2017)

Le Conseil circumpolaire inuit (CCI) est une organisation non gouvernementale sans but lucratif représentant les Inuits des régions circumpolaires et les Inuits canadiens sur la scène internationale. Parmi les buts fondamentaux du CCI, mentionnons la promotion des droits et des intérêts des Inuits à l’échelle internationale, ainsi que l’élaboration et la promotion de politiques à long terme visant à protéger l’environnement arctique. Les Inuits ont subi les effets considérables de divers contaminants transportés à grande distance qui se sont bioaccumulés dans les écosystèmes de l’Arctique pour donner lieu à des concentrations élevées au sein de certaines populations inuites, entraînant ainsi des répercussions sur leur santé et leur bien-être. Les activités du CCI-Canada à l’égard des contaminants à l’échelle nationale, circumpolaire et internationale comportent les éléments suivants : une participation aux projets de recherche sur les contaminants; la représentation des points de vue et des intérêts des Inuits à l’échelle nationale (p. ex. dans le cadre du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord), à l’échelle circumpolaire (p. ex. groupes de travail du Conseil de l’Arctique) et à l’échelle internationale (p. ex. Programme des Nations Unies pour l’environnement, Convention de Stockholm, Comité d’examen des polluants organiques persistants, Convention de Minamata sur le mercure). L’objectif du CCI-Canada est de s’assurer que la recherche scientifique portant sur les contaminants dans l’Arctique répond aux besoins des Inuits et qu’elle est menée avec leur soutien et leur participation.

 


Synopsis (2015-2016)

Résumé

Ce rapport fait état des activités du Conseil circumpolaire inuit (CCI) Canada financées par le Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord (PLCN) pendant l'exercice 2015-2016. Le CCI-Canada travaille à l'échelle nationale et internationale à régler les questions relatives aux contaminants dans l'Arctique. Parmi les activités nationales, citons l'appui offert au PLCN au sein du Comité de gestion, l'examen de plans directeurs et de propositions, la contribution apportée aux faits saillants du Troisième rapport d'évaluation des contaminants dans l'Arctique canadien (RECAC III) et aux résumés à l'intention des décideurs, ainsi que la direction de la rédaction du chapitre 4 du RECAC IV en matière de santé humaine. À l'échelle internationale, le CCI-Canada a poursuivi ses activités se rapportant au Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE). Les travaux se rapportant à la Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants (POP) sont en cours, et le CCI-Canada a assisté à la 11e réunion du Comité d'examen des POP en octobre 2015. Le CCI-Canada a continué de soutenir les activités du Conseil de l'Arctique, notamment dans le cadre du Programme de surveillance et d'évaluation de l'Arctique (PSEA), comme codiriger la rédaction du chapitre 6 sur la communication des risques du rapport d'évaluation du PSEA de 2015 : Santé humaine dans l'Arctique. Le CCI-Canada continue de participer très activement aux travaux du conseil des Sustaining the Arctic Observing Networks (SAON) et du comité exécutif des SAON, et il continue de diriger la tâche des SAON concernant la surveillance communautaire. Le CCI-Canada a également coprésidé le troisième sommet sur l'observation de l'Arctique, qui a eu lieu du 16 au 18 mars 2016 à Fairbanks (Alaska).

Messages clés

  • Le CCI-Canada a travaillé activement pour appuyer le PLCN en participant au Comité de gestion, aux comités d'examen technique en matière de surveillance environnementale et surveillance communautaire ainsi qu'aux faits saillants du RECAC III et au résumé à l'intention des décideurs. De plus, il a dirigé la rédaction du chapitre 4 (sur la gestion des produits chimiques, la gestion des risques et la communication des risques) du RECAC IV (Santé humaine).
  • Le CCI-Canada a assisté à la 11e réunion du Comité d'examen des polluants organiques persistants, a fourni des commentaires pour les documents du groupe de travail de ce comité et a informé le PLCN au sujet des travaux du Comité.
  • Le CCI-Canada a contribué activement aux travaux liés au Conseil de l'Arctique, a assisté aux réunions du groupe de travail du PSEA et des chefs de délégation, aux réunions des SAON et aux téléconférences du comité exécutif des SAON.
  • Le CCI-Canada a joué un rôle très actif au sein du groupe d'évaluation de la santé humaine du PSEA et a codirigé la rédaction du chapitre 6 sur la communication des risques pour l'évaluation du PSEA de 2015 : La santé humaine dans l'Arctique.
  • Le CCI-Canada continue d'effectuer des recherches sur les isotopes de mercure dans des carottes de glace et des échantillons de neige afin de déceler les trajets du mercure et les sources du métal en Arctique; une publication (Historical variations of mercury stable isotope ratios in arctic glacier firn and ice cores, Zdanowicz et al.) a été soumise en mars 2016 à la revue Global Biogeochemical Cycles.
  • Le CCI-Canada a coprésidé le troisième sommet sur l'observation de l'Arctique, qui a eu lieu du 16 au 18 mars 2016 à Fairbanks (Alaska).

 


Synopsis (2014-2015)

Résumé

Ce rapport fait état des activités du Conseil circumpolaire inuit (CCI) Canada financées par le Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord (PLCN) pendant l'exercice 2014-2015. Le CCI-Canada travaille à l'échelle nationale et internationale à régler les questions relatives aux contaminants dans l'Arctique. Parmi les activités nationales, citons l'appui offert au PLCN au sein du Comité de gestion, l'examen de plans directeurs et de propositions, la rédaction du sommaire du Troisième rapport d'évaluation des contaminants dans l'Arctique canadien, de même que la production du résumé à l'intention des décideurs. À l'échelle internationale, le CCI-Canada a poursuivi ses activités se rapportant au Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE). Les travaux se rapportant à la Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants (POP) sont en cours, et le CCI-Canada a assisté à la 10e réunion du Comité d'examen des POP en octobre 2014. Le CCI-Canada a continué de soutenir les activités du Conseil de l'Arctique, notamment en assistant aux réunions, en organisant des webinaires pour l'équipe d'intégration des mesures d'adaptation pour un Arctique en évolution (Adaptation Actions for a Changing Arctic - AACA), et en participant au groupe de travail sur la coopération scientifique. Le CCI-Canada continue de participer très activement aux travaux du conseil des Sustaining the Arctic Observing Networks (SAON) et du comité exécutif des SAON, et il continue de diriger la tâche des SAON concernant la surveillance communautaire. ICC-Canada a dirigé la rédaction du chapitre sur la communication des risques du rapport d'évaluation des effets sur la santé, qui sera publié dans le cadre du PSEA. L'organisme a notamment assisté aux événements de communication suivants : assemblée générale à Inuvik, du 21 au 24 juillet 2014 et conférence Arctic Change, du 8 au 12 décembre 2014 à Ottawa.

Messages clés

  • CCI Canada a travaillé activement pour appuyer le PLCN en participant au Comité de gestion, aux comités d'examen technique en matière de surveillance environnementale et surveillance communautaire, au sommaire du Troisième rapport d'évaluation des contaminants dans l'Arctique canadien et au résumé à l'intention des décideurs.
  • CCI Canada a assisté à la 10e réunion du Comité d'examen des POP, a fourni des commentaires pour les documents du groupe de travail de ce comité et a informé le PLCN au sujet des travaux du Comité.
  • CCI Canada a contribué activement aux travaux liés au Conseil de l'Arctique, a assisté aux réunions du groupe de travail du PSEA et des chefs de délégation, aux réunions et aux webinaires de l'équipe d'intégration de l'AACA, aux réunions et aux téléconférences du groupe de travail sur la coopération scientifique (à Helsinki et Reykavik), aux réunions des SAON et aux téléconférences du comité exécutif des SAON.
  • CCI participe aux activités du PLCN, d'ArcticNet et, maintenant, de la SCREA au niveau de la gestion, en plus d'assurer la coordination et la diffusion des renseignements pour la mobilisation des Inuits à ces forums circumpolaires.
  • CCI Canada a joué un rôle actif au sein du groupe d'évaluation de la santé humaine du PSEA, et a dirigé la rédaction du chapitre sur la communication des risques du rapport d'évaluation des effets sur la santé qui sera publié dans le cadre du PSEA.
  • CCI continue d'effectuer des recherches sur les isotopes de mercure dans les carottes de glace et des échantillons de neige afin de déceler les trajets du mercure et les sources du métal en Arctique. Il analyse les données et il se prépare pour la publication d'un article qui devrait être soumis à l'été 2015.
  • CCI a tenu son assemblée générale quadriennale à Inuvik, du 21 au 24 juillet 2014. Lors de l'assemblée générale, les dirigeants inuits des régions circumpolaires déterminent les orientations du CCI pour les quatre années suivantes, et les présentent dans la déclaration Kitigaaryuit. Des centaines de personnes ont participé à l'assemblée générale, notamment des représentants inuits de la région circumpolaire arctique, de même que de nombreux invités étrangers des gouvernements, du milieu universitaire, de l'industrie et de la société civile.

Synopsis (2013-2014)

Résumé

Ce rapport fait état des activités du Conseil circumpolaire inuit (CCI) Canada financées par le Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord (PLCN) pendant l'exercice 2013-2014. Le CCI Canada travaille à l'échelle nationale et internationale à régler les questions relatives aux contaminants dans l'Arctique. À l'échelle nationale, les activités comprennent le soutien au PLCN au sein du Comité de gestion, l'examen des plans directeurs et des propositions du programme, la participation à l'atelier sur les résultats et la contribution à la Synthèse du Rapport de l'évaluation des contaminants dans l'Arctique canadien, phase III. À l'échelle internationale, le CCI Canada a poursuivi ses activités se rapportant au Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE). Les travaux se rapportant à la Convention de Stockholm sur les polluants organiques sont en cours, et le CCI Canada a assisté à la 9e réunion du Comité d'examen des POP en octobre 2013. Le CCI Canada a continué de soutenir les activités du Conseil de l'Arctique, notamment en assistant aux réunions et en organisant des webinaires pour l'équipe d'intégration des mesures d'adaptation pour un Arctique en évolution (Adaptation Actions for a Changing Arctic - AACA). Le CCI Canada continue de participer très activement aux travaux du conseil des Sustaining the Arctic Observing Networks (SAON) et du comité exécutif des SAON, et il continue de diriger la tâche des SAON concernant la surveillance communautaire. Le CCI Canada dirige la rédaction du chapitre sur la communication des risques du rapport d'évaluation des effets sur la santé qui est établi dans le cadre du PSEA, et il a offert une communication et une affiche sur les activités se rattachant à la santé au cours de la conférence des Frontières de l'Arctique à Tromsø, en Norvège.

Messages clés

  • Le CCI Canada a soutenu activement le PLCN en participant aux travaux du Comité de gestion et du sous-comité de recherche et de surveillance environnementale, et à l'établissement du RECAC III.
  • Le CCI Canada a aidé à organiser l'atelier sur les résultats du PLCN (septembre 2013) et a remis un prix du partenariat avec les Inuits au PLCN.
  • Le CCI Canada a assisté à la 9e réunion du Comité d'examen des POP et contribué à l'établissement des documents des groupes de travail du comité.
  • Le CCI Canada a participé activement aux travaux en lien avec le Conseil de l'Arctique et il a assisté à la réunion du groupe de travail du PSEA, aux réunions de l'équipe d'intégration des mesures d'adaptation pour un Arctique en évolution, aux réunions du conseil des SAON et aux téléconférences du comité exécutif des SAON.
 

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Coordination nationale d’Inuit Tapiriit Kanatami

Chef du projet

Eric Loring,chercheur principal en environnement et conseiller en matière de politiques, Inuit Tapiriit Kanatami
Tél. : (613) 238-8181, poste 234; Téléc. : (867) 234-1991; Courriel : loring@itk.ca

Équipe du projet

John Cheechoo, Scot Nickels, Elizabeth Ford et Terry Audla, Inuit Tapiriit Kanatami; Conseil circumpolaire inuit (CCI) Canada; Comité des contaminants du Nunavut; Comité régional des contaminants des Territoires du Nord-Ouest; Comité consultatif de la recherche du Nunatsiavut; Comité de la nutrition et de la santé du Nunavik

Durée du projet : continu


Sommaire du projet (2016-2017)

Le ministère de l’Environnement et de la Faune, par le biais de l’Inuit Tapiriit Kanatami (ITK), assurera un leadership national accru en ce qui concerne la recherche sur l’environnement et la faune touchant l’Inuit Nunangat. L’ITK évaluera l’information et la recherche découlant du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord (PLCN) afin de jouer un rôle éclairé en influençant les priorités de gestion actuelles et futures du PLCN et de participer à l’établissement de priorités nationales et internationales. L’ITK contribue à ce que la voix des Inuits des collectivités et des régions soit entendue et prise en compte dans la recherche parrainée par le PLCN et d’autres programmes de recherche liés à l’Arctique. L’organisation aide à défendre et à communiquer les besoins des Inuits, en veillant à ce que la communication des recherches découlant du programme soit orientée vers les Inuits et favorise leur participation. Dans la mesure du possible, l’ITK s’emploiera à améliorer la recherche parrainée par le PLCN, ainsi qu’à intégrer et à utiliser les connaissances inuites au stade de la recherche et au processus d’élaboration des politiques. Sa participation au PLCN l’aide à mettre en contexte l’information issue de la recherche et à la transmettre aux régions et aux collectivités inuites. Cette année, des efforts seront déployés pour diriger la communication vers les conseils de gestion des ressources fauniques dans le cadre de la restructuration de l’organisation. De concert avec ses partenaires, l’ITK favorisera l’échange des connaissances et le renforcement des capacités, améliorera le savoir aux fins de la recherche dans l’Arctique et soutiendra l’acquisition des connaissances dans les principaux secteurs stratégiques du PLCN.

Chef du projet: Eric Loring (Inuit Tapiriit Kanatami)

 


Synopsis (2015-2016)

Résumé

Inuit Tapiriit Kanatami (ITK) est partenaire de gestion du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord (PLCN) depuis la création du programme, en 1991.Ce partenariat continue d’être fructueux et efficace pour les Inuits canadiens et pour le PLCN.Porte-parole politique des Inuits du Canada, ITK continue de jouer de multiples rôles au sein du PLCN.Premièrement, ITK fournit conseils et orientations à AANC et à d’autres partenaires du PLCN (Santé Canada, Pêches et Océans Canada, Environnement et Changement climatique Canada, entre autres), dans le but d’accroître l’intérêt des Inuits pour le comité de gestion et de liaison du PLCN dont nous sommes membres. En conséquence, le PLCN peut mieux répondre aux besoins et mieux réagir aux préoccupations des Inuits.Deuxièmement, ITK s’emploie à faciliter des communications adéquates et opportunes au sujet des contaminants dans le Nord.Troisièmement, ITK collabore avec ses partenaires inuits au sein du CCI-Canada à l’international pour persuader les pays de réduire la production et l’emploi des polluants organiques persistants (POP) et des métaux lourds (p. ex. le mercure) qui aboutissent dans les aliments des Inuits.Enfin, ITK collabore maintenant avec d’autres programmes de recherche, comme ArcticNet, Savoir polaire Canada, le programme sur les changements climatiques de Santé Canada et le Plan de gestion des produits chimiques, afin de garantir que les recherches sur les contaminants s’effectuent de façon coordonnée.ITK le fait surtout par sa participation aux travaux des comités régionaux sur les contaminants dans chacune des quatre régions inuites, grâce à l’aide et à l’orientation qu’il fournit.La participation d’ITK au Comité régional des contaminants des Territoires du Nord-Ouest, au Comité des contaminants de l’environnement du Nunavut, au Comité de la nutrition et de la santé du Nunavik et au Comité consultatif de la recherche du gouvernement du Nunatsiavut est essentielle à la présentation d’un message cohérent aux Inuits au sujet du PLCN et des contaminants.

Messages clés

  • Se faire le porte-parole des Inuits du Canada dans les délibérations du PLCN.
  • Continuer d’être un membre actif et constructif de la structure de gestion du PLCN, et veiller à ce que les questions relatives aux contaminants et les recherches du PLCN soient communiquées aux Inuits, et à ce que les Inuits soient représentés aux principales réunions et dans les initiatives importantes à l’échelle régionale, circumpolaire et internationale.
  • Mettre en contexte les renseignements relatifs aux contaminants dans un contexte général par l’intermédiaire du Centre du savoir inuit.
  • Renforcer la confiance des Inuits afin qu’ils prennent des décisions éclairées au sujet de la consommation des aliments traditionnels.
  • Coordonner les activités liées aux contaminants avec Nasivvik, ArcticNet et le programme sur les changements climatiques de Santé Canada.

 


Synopsis (2014-2015)

Résumé

Inuit Tapiriit Kanatami (ITK) est partenaire de gestion du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord (PLCN) depuis la création du programme en 1991. Ce partenariat continue d’être fructueux et efficace pour les Inuits canadiens et pour le PLCN. Porte-parole politique des Inuits du Canada, ITK continue de jouer de multiples rôles au sein du PLCN. Premièrement, ITK fournit conseils et orientations à AADNC et à d’autres partenaires du PLCN. Il fait connaître les intérêts des Inuits à la gestion du PLCN et aux comités de liaison dont il est membre. En conséquence, le PLCN peut mieux répondre aux besoins et réagir aux préoccupations des Inuits. Deuxièmement, ITK s’emploie à faciliter des communications adéquates et opportunes au sujet des contaminants dans le Nord. Troisièmement, ITK collabore avec ses partenaires inuits au sein du CCI-Canada à l’international pour persuader les pays de réduire la production et l’emploi des polluants organiques persistants (POP) et des métaux lourds (p. ex. le mercure) qui aboutissent dans les aliments des Inuits. Enfin, ITK collabore maintenant avec d’autres programmes de recherche, comme ArcticNet, Nasivvik, le programme sur les changements climatiques de Santé Canada et le Plan de gestion des produits chimiques, afin de garantir que les recherches sur les contaminants s’effectuent de façon coordonnée. ITK le fait surtout par sa participation aux travaux des comités régionaux sur les contaminants dans chacune des quatre régions inuites, grâce à l’aide et à l’orientation qu’il fournit. Cette participation est cruciale pour livrer un message cohérent aux Inuits au sujet du PLCN et des contaminants.

Messages clés :

  • Se faire le porte-parole des Inuits du Canada dans les délibérations du PLCN.
  • Continuer d’être un membre actif et constructif de la structure de gestion du PLCN, et veiller à ce que les questions relatives aux contaminants et les recherches du PLCN soient communiquées aux Inuits, et à ce que les Inuits soient représentés aux principales réunions et dans les initiatives importantes à l’échelle régionale, circumpolaire et internationale.
  • Mettre en contexte les renseignements relatifs aux contaminants dans un contexte général par l’intermédiaire du Centre du savoir inuit.
  • Renforcer la confiance des Inuits afin qu’ils prennent des décisions éclairées au sujet de la consommation des aliments traditionnels.
  • Coordonner les activités liées aux contaminants avec Nasivvik, ArcticNet et le programme sur les changements climatiques de Santé Canada.

Synopsis (2013-2014)

Résumé

Inuit Tapiriit Kanatami (ITK) est partenaire de gestion du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord (PLCN) depuis la création du programme en 1991. Ce partenariat continue d’être fructueux et efficace pour les Inuits canadiens et pour le PLCN. Porte-parole politique des Inuits du Canada, ITK continue de jouer de multiples rôles au sein du PLCN.

Premièrement, ITK fournit conseils et orientations au PLCN et à ses partenaires, en faisant connaître les intérêts des Inuits au Comité de gestion du PLCN et aux comités régionaux dont il est membre. En conséquence, le PLCN peut mieux répondre aux besoins et réagir aux préoccupations des Inuits.

Deuxièmement, ITK s’emploie à faciliter des communications adéquates et opportunes au sujet des contaminants dans le Nord.

Troisièmement, ITK collabore avec ses partenaires inuits au sein du CCI Canada à l’échelon international pour persuader les pays de réduire la production et l’emploi des polluants organiques persistants (POP) et des métaux lourds (p. ex. le mercure) qui aboutissent dans les aliments des Inuits.

Enfin, ITK collabore avec d’autres programmes de recherche, comme ArcticNet, le Centre pour la santé des Inuits et les changements environnementaux Nasivvik, le programme Changement climatique et adaptation sanitaire de Santé Canada et le Plan de gestion des produits chimiques, afin de garantir que les recherches sur les contaminants s’effectuent de façon coordonnée. ITK le fait surtout par sa participation aux travaux des comités régionaux sur les contaminants dans chacune des quatre régions inuites. Cette participation est cruciale pour livrer un message cohérent aux Inuits au sujet du PLCN et des contaminants.

Messages clés

  • ITK se fait le porte-parole des Inuits du Canada dans les délibérations du PLCN.
  • ITK continue d’être un membre actif et constructif du PLCN, et veille à ce que les questions relatives aux contaminants et les recherches du PLCN soient communiquées aux Inuits et à ce que les Inuits soient représentés aux principales réunions et dans les initiatives importantes à l’échelle régionale, circumpolaire et internationale.
  • ITK contextualise les renseignements relatifs aux contaminants dans un contexte général par l’intermédiaire du Centre du savoir inuit.
 

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Réseau d'échantillonnage atmosphérique passif (EAP) à l'appui du plan de suivi mondial (évaluation de l'efficacité) de la Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants

Chef du projet:

Tom Harner, Direction de science et technologie atmospherique, Environnement et Changement Climatique Canada, Toronto, ON
Tél : (416) 739-4837; Courriel: tom.harner@ec.gc.ca

Équipe du projet

Dr Cassandra Rauert, chercheure invitée; Mr. Ky Su, technicien du laboratoire; Ms. Anita Eng, membre du personnel de soutien laboratoire et ingénierie

Durée du projet : 2011-au présent

**Ce projet était inclus auparavant dans le projet « Coordination et administration du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord »



Sommaire du projet (2016-2017)

Réseau d'échantillonnage atmosphérique passif (EAP) est dans sa neuvième année d'échantillonnage et est le seul programme à l'échelle planétaire qui contribue des informations sur les concentrations atmosphériques de polluants organiques persistants (POPs) au plan mondial de suivi de la Convention de Stockholm sur les POPs. En 2016-2017, les efforts en EAP se concentrera sur l'analyse et la présentation des résultats pour les composés ignifuges. Nous allons également l'analyse complète des données et des rapports pour les échantillons spéciaux d'étude EAP recueillies en 2011 et 2013 qui a utilisé la mousse de polyuréthane sorbant imprégné disques pour capturer de nouveaux et plus volatils produits chimiques prioritaires (par exemple, les siloxanes, les produits chimiques fluorés, hexachlorobenzène penta et) à évaluer les tendances mondiales. Les résultats des sites de l'Arctique du réseau GAPS seront intégrées à un programme de surveillance passive PLCN financé par les POP dirigés par le Dr Hayley Hung.

 

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Facilitation de l’action internationale relative au transport à grande distance de contaminants dans l’Arctique et l'appui du Canada pour la programme de surveillance et d’évaluation de l’Arctique

Chef du projet

Sarah Kalhok,Direction des sciences et de la recherche sur les contaminants dans le Nord, Affaires autochtones et Développement du Nord Canada
Tel: (819) 934-1107; Fax: (819) 934-1390; Courriel:Sarah.Kalhok@aadnc-aandc.gc.ca


Jason Stow, Direction des sciences et de la recherche sur les contaminants dans le Nord, Affaires autochtones et Développement du Nord Canada
Courriel:Jason.stow@aadnc-aandc.gc.ca


Lars-Otto Reiersen, Secrétariat du Programme de surveillance et d’évaluation de l’Arctique (PSEA),


Simon Wilson, Secrétariat du Programme de surveillance et d’évaluation de l’Arctique (PSEA)


Équipe du projet


Eva Kruemmel, Conseil circumpolaire inuit-Canada; Tom Harner, Environnement et Changement Climatique Canada; Georgina Lloyd, Affaires autochtones et du Nord Canada

**Ce projet était inclus auparavant dans le projet « Coordination et administration du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord »


Sommaire du projet (2016-2017)

Étant donné que la majorité des contaminants présents dans l’environnement arctique proviennent d’autres pays que le Canada, la question doit être gérée à l’échelle internationale. Ainsi, le Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord et ses partenaires ont entrepris des activités internationales visant à réglementer les contaminants qui sont susceptibles d’être transportés sur de grandes distances. Ces efforts ont déjà donné lieu à plusieurs accords internationaux, y compris la Convention mondiale de Stockholm sur les polluants organiques persistants (POP) (2004) et la Convention de Minamata sur le mercure (2013). La principale contribution du PLCN à ces accords a été l’apport de données scientifiques, de renseignements et d’expertise sur les contaminants dans le Nord du Canada ainsi que la communication au sujet de leurs répercussions sur les habitants du Nord et sur les espèces sauvages. Le PLCN représente également la principale contribution du Canada au programme de surveillance et d’évaluation de l’Arctique (PSEA) mené par le Conseil de l’Arctique, qui est une source respectée d’évaluations scientifiques circumpolaires liées à l’environnement arctique. Par l’entremise du PSEA, les données et les renseignements du PLCN sont étudiés dans le contexte circumpolaire et utilisés pour éclairer les décisions stratégiques prises par l’éminent Conseil de l’Arctique. Des ententes mondiales étant maintenant en place pour surveiller les polluants organiques persistants et le mercure, le PLCN et ses partenaires se concentrent désormais sur la mise en œuvre efficace de ces accords. Le PLCN travaille en étroite collaboration avec ses partenaires pour veiller à ce que ses résultats et son expertise soient utilisés pour évaluer l’efficacité des règlements mondiaux visant à réduire la pollution dans l’Arctique, et pour aider à évaluer les nouveaux produits chimiques préoccupants qui pourraient être inclus dans la Convention de Stockholm. La Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants et la Convention de Minamata sur le mercure reconnaissent l’Arctique comme un indicateur important de la pollution mondiale à longue distance, et estiment que les données et les renseignements provenant de l’Arctique sont essentiels pour évaluer les répercussions des polluants mondiaux. Le PLCN, qui joue depuis longtemps un rôle dans la surveillance des contaminants et la recherche dans l’Arctique, fournit une grande partie de ces renseignements.

 

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Soutien à la Canadian Cryospheric Information Network /Polar Data Catalogue

Chefs du projet:

Dr. Ellsworth LeDrew, Cadre Supérieure, Canadian Cryospheric Information Network/Polar Data Catalogue, Professeure, Université de Waterloo
Tél: (519) 888-4567 ext.32783; Courriel: ells@uwaterloo.ca

Julie E. Friddell, Ph.D., Directrice associée, Canadian Cryospheric Information Network/Polar Data Catalogue
Tél: (519) 888-4567 ext. 32689; Courriel : julie.friddell@uwaterloo.ca

Durée du projet; continu

**Ce projet était inclus auparavant dans le projet « Coordination et administration du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord »


Sommaire du projet (2016-2017)

Le Canadian Cryospheric Information Network/Polar Data Catalogue (CCIN/PDC) agit en tant que référentiel de métadonnées pour les projets financés par le PLCN. Les activités suivantes sont proposées pour l'exercice 2016-2017: mettre à jour l'inventaire des métadonnées et des ensembles de données NCP, accroître la disponibilité des métadonnées et des informations NCP, et de promouvoir une gestion efficace des données NCP à travers le développement de la politique et des meilleures pratiques.

 

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Programme contaminants dans le Nord interlaboratoires Assurance de la Qualité

Chefs de projet

Eric Reiner, Ministère d’Environnement et de l’Action en matière de changement climatique Ontario

Pat Falletta, Environnement et Changement climatique Canada

Ed Sverko, Environnement et Changement Climatique Canada, Institut National de la recherche sur les eaux, Burlington

Équipe de projet

Anne Myers , Rita Dawood, Debbie Dipchand, Moustapha Oke, Marivie Cepeda, Ministère d’Environnement et de l’Action en matière de changement climatique Ontario; Membres du sous-comité du QA/QC; tous les laboratoires analytiques qui participent dans le PLCN

Durée du projet : continu

**Ce projet était inclus auparavant dans le projet « Coordination et administration du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord »


Sommaire du projet (2016-2017)

Ce projet comprend l'évaluation de la performance des laboratoires d'analyse qui fournissent des données au Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord (PLCN) et le programme de surveillance et d’évaluation de l’Arctique (PSEA). Ce projet permettra d'évaluer la variabilité des données grâce à des études interlaboratoires sur l'héritage, ainsi que les produits chimiques organiques émergents et des métaux lourds en utilisant des normes et des matériaux de référence certifiés. Des informations précieuses seront fournies aux gestionnaires scientifiques NCP et les résidents du Nord de comparer les données entre les différents laboratoires et de prendre des décisions éclairées en ce qui concerne les sources de contaminants et leurs effets sur l'environnement arctique et sur la santé humaine. Cette information sera également veiller à ce que les données scientifiquement solides est fourni par NCP et PSEA aux accords et contrôles internationaux pour protéger la santé de l'écosystème et du Nord de l'Arctique. Plus précisément, ce projet fera en sorte que les données sur les contaminants produits par les laboratoires répond aux objectifs de qualité des données établies par les comités de gestion et que les laboratoires participants seront en mesure d'évaluer et d'améliorer leurs performances.

 

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PLCN base de données des publications

Chef de projet


Shannon Vossepoel, Gestionnaire, Services de données et de l’information, Institut de l’Arctique de l’Amérique du Nord, Université de Calgary, Calgary
Tel: (408) 220-4033; Fax: (403) 282-4609; Courriel: shannonv@ucalgary.ca


Durée du projet : continu


**Ce projet était inclus auparavant dans le projet « Coordination et administration du Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord »


Sommaire du projet (2016-2017)

Le système d'information de l'Arctique Science et technologie fournit un lien vers le site web PLCN qui permet aux gens de chercher des publications NCP. Travailler pendant 2016-2017 mettra l'accent sur l'ajout de documents PDF fournis par le Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord de dépôt en ligne en arctique institut d'Amérique du Nord; continue d'ajouter le profil des recherches pour les chercheurs NCP pour relier leurs publications sur le site Web du PLCN; et abstraire et l'indexation des publications supplémentaires pour la base de données PLCN publications. La base de données décrit actuellement environ 3500 publications.

 

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